La aussi, lors de cet attentat, des victimes ont été autopsiés, pour connaître la cause du décès.
La justice se moque des victimes, après un tel drame, comment peut-on avoir un doute du décès ?
Un « traumatisme sur le traumatisme, une douleur sur la douleur », dans le cas qui est de reconnaitre une personne. Il est normal que l’on pratique une autopsie, mais pour aller plus loin NON.
Extrait d’une interview France Inter
“123 corps entiers et 17 fragments de corps admis le 14 novembre 2015 à l’IML
Il précise que c’est le procureur de la République de Paris, François Molins, qui lui avait confié cette mission première, dans le cadre de l’enquête ouverte dans la nuit des attentats, cette nuit de terreur et de chaos.
Sa deuxième mission : la description détaillée des corps, “et remettre aux enquêteurs tout projectile que nous aurions pu trouver”.
Le corps de la première victime est arrivée à l’IML le 14 novembre à 6h du matin, et celui de la dernière à 10h50, dit-il. 123 corps entiers, 17 fragments de corps.
En réalité, d’autres dépouilles ont été transportées dans les jours suivants, pour des victimes qui étaient mortes à l’hôpital.
À l’IML, Bertrand Ludes a aussi autopsié les corps des terroristes.”
Il s’agit d’une situation très particulière, ce qui n’empêche pas les fautes lors des autopsies.
Mais l’attentat a été tellement violent.